Langue: Français
Couverture: Papier
Pages: 272
Extrait
N’est-il pas agréable de débusquer des végétaux enracinés dans notre histoire? En continuité avec les trois premiers tomes, les auteurs présentent 34 histoires mettant à l’avant-scène des personnes et des institutions d’enseignement et de recherche qui, entre 1867 et 1935 au Québec, se préoccupent de végétaux pour leur intérêt agricole, alimentaire, ornemental, médicinal, industriel ou scientifique. Tout comme d’autres femmes, la première scientifique de carrière dans une université canadienne participe à l’évolution des savoirs sur les végétaux. Quant au « second fondateur » des Caisses populaires, il veille au développement de l’industrie apicole et des produits de l’érable. En 1935, la Flore laurentienne du frère Marie-Victorin résulte d’investigations, parfois étonnantes, de notre patrimoine géographique et végétal. Ainsi, durant la Première Guerre mondiale, des prisonniers de guerre défrichent, près d’Amos, une ferme expérimentale destinée à l’évaluation agronomique de végétaux.